des étoiles et coiffure : quand deux informations se mélangent





La voyance à Clermont-Ferrand, mon seul secret bien gardé tout bonnement, je pensais jamais présenter ça un jour… mais la voyance, ça m’a grave aidée. J’ai 22 ans, je me perçois coiffeuse à Clermont-Ferrand, et entre deux brushings et les clientes qui veulent “changer de physionomie sans se modifier de coupe”, j’ai proclamé environnement que je croyais réservé aux films ou aux mamies accros aux cartes. Tout a commencé avec une conversation au salon. Une cliente hyper sérénité me parle d’une consultation qu’elle a confectionnée avec un médium local. Elle disait qu’il avait connu décrire son mec sans même qu’elle dise son désignation. J’étais bluffée. En rentrant chez moi, j’ai tapé “voyance Clermont-Ferrand” sur mon tel, juste par envie. Et là, j’ai vu qu’il y avait remplissage de possibilités : voyance en cabinet, consultations par téléphone, même par mail. J’ai sélectionné un voyant qui proposait des séances virtuelles, parce que je voulais dénicher sans pression, durant mon appart, tranquille. J’ai eu un flash pendant la consultation, pas un flash genre expressif, mais un déclic : il mettait des mots sur ce que je ressentais, sur mes limitations du moment. C’était pas rapide des généralités, c’était ciblé, régulier, par exemple s’il voyait dans ma frimousse. Depuis, je pratique quelquefois, entre autres voyance olivier quand j’ai la nécessité de authenticité ou que je sens que je perds pied. À malintrat, nous avons bel avoir été au cœur de l’Auvergne, enveloppés de volcans, parfois, on a en mains qu’on a la nécessité de lumière. Et moi, j’ai trouvé une forme de divination dans la voyance, un seul truc rien qu’à un être, une aide sobre qui m’aide à évoluer.

Depuis, chaque fois que je passe au marché, je n’hésite plus à m’arrêter pour une mini‑séance “flash” entre deux emplettes. Ça casse la règle : une empreinte de boost religieux au beau milieu des paniers, un échange rapide et juste, adéquat quand on manque de saisons. Et puis, ça crée de super rencontre abracadabrantes avec des locaux et des visiteurs de passage. En tant sur le plan que coiffeuse de 22 ans, j’aime témoigner qu’on peut connaître brillance, bourse et spiritualité sans chichi. À Clermont‑Ferrand, j’ai compris que la voyance n’avait pas besoin de formalisme condamnant pour devenir réelle. souvent, l’authenticité d’un étal de marché suffit à effectuer résulter des interrogations et des buts. Résultat : je rentre au séjour plus inspirée, prête à présenter des idées astucieuses à mes clientes et à partager cette petite magie urbaine qu’on peut trouver au subterfuge d’un étal.



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